Selon le Washington Post, Miller est décrit comme « un partisan de principe des droits palestiniens et de la création d’un État palestinien, et un penseur attentif aux affaires du Moyen-Orient ».
Avant de concentrer son travail sur le conflit israélo-palestinien, Miller était conseiller politique de l’ambassadeur des États-Unis auprès des Nations Unies et, sous l’administration de l’ancien président Barack Obama, il a été directeur des questions militaires pour l’Égypte et Israël au Conseil de sécurité nationale. à la Maison Blanche.
Miller avait mis en garde, selon le journal américain, contre ce qu’il a appelé des « câlins d’ours », en référence à la photo de Biden embrassant Netanyahu lors de la visite du premier à Tel Aviv, dans les jours qui ont suivi l’attaque du Hamas.
On pense que Miller pensait que l’influence dont jouissaient les États-Unis sur Israël, en tant que plus grand soutien militaire, économique et politique, aurait pu être utilisée plus efficacement pour empêcher le meurtre de civils à Gaza.
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Bien que Miller ait déclaré vendredi à ses collègues qu’il avait quitté son emploi pour passer plus de temps avec sa famille, le Washington Post a déclaré que sa décision s’opposait au fait que les États-Unis autorisent le meurtre de dizaines de milliers de personnes aux mains d’Israël à Gaza.
Le journal décrit la démission de Miller comme “un revers pour les diplomates américains qui cherchent une plus grande rupture avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et sa coalition d’extrême droite”.
La démission de Miller intervient dans un contexte de frustration croissante au sein et à l’extérieur du gouvernement américain concernant le grand nombre de morts civiles à Gaza, qui a dépassé les 37 000 jusqu’à présent selon les autorités sanitaires de la bande de Gaza.
Selon le Washington Post, Miller est décrit comme « un partisan de principe des droits palestiniens et de la création d’un État palestinien, et un penseur attentif aux affaires du Moyen-Orient ».
Avant de concentrer son travail sur le conflit israélo-palestinien, Miller était conseiller politique de l’ambassadeur des États-Unis auprès des Nations Unies et, sous l’administration de l’ancien président Barack Obama, il a été directeur des questions militaires pour l’Égypte et Israël au Conseil de sécurité nationale. à la Maison Blanche.
Miller avait mis en garde, selon le journal américain, contre ce qu’il a appelé des « câlins d’ours », en référence à la photo de Biden embrassant Netanyahu lors de la visite du premier à Tel Aviv, dans les jours qui ont suivi l’attaque du Hamas.
On pense que Miller pensait que l’influence dont jouissaient les États-Unis sur Israël, en tant que plus grand soutien militaire, économique et politique, aurait pu être utilisée plus efficacement pour empêcher le meurtre de civils à Gaza.
