Un juge décide que le consentement éclairé ne peut être donné quelques minutes avant d’entrer dans la salle d’opération – Santé et Médecine

Un juge décide que le consentement éclairé ne peut être donné quelques minutes avant d’entrer dans la salle d’opération – Santé et Médecine

2024-06-22 03:31:33

Un tribunal a condamné un assureur, de concert avec Muface, à indemniser un patient des conséquences d’une opération au genou.

Le Tribunal de Première Instance numéro 7 de Malaga a condamné un assureur, de concert avec Muface, à indemniser 13.000 euros, plus les intérêts de l’article 20 de la Loi sur le Contrat d’Assurance, à un patient qui a subi deux opérations au genou et qui lui a laissé d’importantes pertes. conséquences.

La requérante, policière nationale de profession et donc adhérente à la mutuelle Muface, s’est présentée aux urgences de l’hôpital El Ángel de Málaga en octobre 2015. Grâce à une IRM, on lui a diagnostiqué une « ligamentoplastie croisée antérieure ». , qui a provoqué plusieurs épanchements sur un genou opéré en 1985, alors que le patient avait 20 ans, pour une ligamentoplastie.

En raison de l’instabilité de l’articulation, en janvier 2017, elle a de nouveau été opérée. À ce stade, l’avocat du requérant, Damián Vázquez, et collaborateur de l’Association El Defensor del Paciente, a souligné le fait que le consentement éclairé pour l’intervention a été donné à la patiente pour sa signature “dans la même salle d’opération, avant l’anesthésie”. »

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Une IRM réalisée quatre mois après l’intervention a montré que le patient présentait « une déchirure radicale de la corne postérieure du ménisque interne ».

Ainsi, la patiente, insatisfaite des soins qu’elle recevait à l’hôpital, a décidé de demander un autre avis médical. Il s’est rendu chez un autre professionnel qui a confirmé une synovite réactive sévère au genou droit.

En octobre 2017, le patient a subi une arthroscopie chirurgicale, avec une étude anatomopathologique qui a révélé l’existence de restes de Dacron, une fibre synthétique utilisée pour remplacer les tissus, en mauvais état. La substance a été introduite lors de la première intervention, en 1985, et a été partiellement retirée lors de l’opération de janvier 2017.

L’avocat du patient a présenté au procès des rapports d’expertise qui ont indiqué que c’était une erreur de ne pas éliminer toute trace de ce matériel, mais le tribunal ne s’est pas prononcé sur cette question. De plus, dans la réclamation, ils insistent également sur le fait que cette deuxième opération aurait dû être effectuée plus tôt. MTT

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