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Une enquête de suivi oculaire sur le mécanisme d’attention dans le comportement de conduite face à des problèmes émotionnels et à une charge cognitive

Une enquête de suivi oculaire sur le mécanisme d’attention dans le comportement de conduite face à des problèmes émotionnels et à une charge cognitive

Pourcentage d’échantillon AOI

Comme le montre la figure 3A, parmi tous les participants, le pourcentage d’échantillon d’AOI sous charge cognitive élevée était significativement plus élevé que celui sans charge cognitive externe, F (1, 48,67) = 90,88, p < 0,001, ainsi que dans le trois groupes, les données sont présentées dans le tableau 2. La moyenne et l'écart type sont présentés dans les figures. 3, 4 et tableau 2. Sans différencier le niveau de charge cognitive, le groupe dépressif avait le pourcentage d'échantillon d'AOI le plus faible, atteignant 60,84 %, le groupe témoin et le groupe maniaque étaient respectivement de 68,03 % et 69,62 %. Avec la présence d’une charge cognitive élevée, le pourcentage de l’échantillon AOI a augmenté dans tous les groupes. Les groupes maniaques et dépressifs ont présenté une augmentation plus importante du pourcentage d'échantillon d'AOI que le groupe témoin, soit une augmentation de 7,52 % et 6,91 %, respectivement, de 65,86 % à 73,38 % (p < 0,001) et de 57,38 % à 64,29 % (p < 0,001). 0,001). Le groupe témoin est passé de 65,50 % à 70,56 % (p < 0,001), avec une augmentation de 5,06 %.

figure 3

Analyse des différences significatives de charge cognitive entre tous les sujets et au sein de trois groupes, ***p < 0,001.

Tableau 2 Moyennes et écarts types des différences entre les groupes sur les caractéristiques de suivi oculaire sous différentes charges cognitives.
Figure 4
chiffre 4

Différences entre les groupes sous différentes charges cognitives, *p < 0,05, **p < 0,01.

Sans différencier le niveau de charge cognitive, il existait des différences significatives entre les trois groupes, F (2, 48,96) = 4,48, p = 0,016. Le groupe souffrant de dépression présentait le pourcentage d’échantillon d’AOI le plus faible. Le pourcentage d’échantillon d’AOI dans le groupe témoin était significativement plus élevé que dans le groupe dépressif (p = 0,029, d de Cohen = 0,99), ainsi qu’entre le groupe maniaque et le groupe dépressif (p = 0,005, d de Cohen = 1,22). Par ailleurs, il n’y avait pas de différence significative entre le groupe maniaque et le groupe témoin (p = 0,483, d de Cohen = 0,18).

En l’absence de charge cognitive externe, sur la figure 4A, le pourcentage d’échantillon d’AOI dans le groupe maniaque était significativement plus élevé que celui du groupe dépression (p = 0,007, d de Cohen = 1,05), ainsi qu’entre le groupe témoin et le groupe dépressif (p = 0,014, d de Cohen = 0,98). Par ailleurs, il n’y avait pas de différence significative entre le groupe maniaque et le groupe témoin (p = 0,881, d de Cohen = 0,04).

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En présence d’une charge cognitive élevée, le pourcentage d’échantillon d’AOI dans le groupe maniaque était significativement supérieur à celui du groupe dépression (p = 0,005, d de Cohen = 1,24), comme le montre la figure 4A. Bien qu’il n’y ait pas de différence significative entre le groupe maniaque et le groupe témoin (p = 0,232, d de Cohen = 0,90), ainsi qu’entre le groupe dépression et le groupe maniaque (p = 0,078, d de Cohen = 0,34).

Durée de fixation de l’AOI

Parmi tous les participants, la durée de fixation de l’AOI sous charge cognitive élevée était significativement plus élevée que celle sans charge cognitive externe, F (1, 48,68) = 85,87, p < 0,001, ainsi que dans trois groupes, p < 0,001, comme c'est le cas Comme le montre la figure 3B, les données sont présentées dans le tableau 2. Sans différencier le niveau de charge cognitive, le groupe dépressif avait la durée de fixation de l'AOI la plus faible, atteignant 365,3 s, tandis que le groupe témoin atteignait 404,7 s et le groupe maniaque atteignait 415,4 s. . En présence d’une charge cognitive élevée, la durée de fixation de l’AOI a augmenté dans tous les groupes. Les groupes maniaques et dépressifs ont présenté une augmentation plus importante de la durée de fixation de l'AOI que le groupe témoin, soit une augmentation de 10,9 % et 12,0 %, respectivement, de 394,0 à 436,8 s (p < 0,001) et de 344,5 à 386,0 s (p < 0,001). . Le groupe témoin est passé de 389,2 à 420,2 s (p < 0,001), avec une augmentation de 8,0 %.

Sans différencier le niveau de charge cognitive, il existait des différences significatives entre les trois groupes, F (2, 48,95) = 4,19, p = 0,021. Les participants ont été répartis dans le groupe de dépression ayant la durée de fixation de l’AOI la plus faible. La durée de fixation de l’AOI dans le groupe témoin était significativement plus longue que dans le groupe dépression (p = 0,043, d de Cohen = 0,89), ainsi qu’entre le groupe maniaque et le groupe dépressif (p = 0,006, d de Cohen = 1,24). Par ailleurs, il n’y avait pas de différence significative entre le groupe maniaque et le groupe témoin (p = 0,411, d de Cohen = 0,21).

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En l’absence de charge cognitive externe, la durée de fixation de l’AOI dans le groupe maniaque était significativement plus longue que celle du groupe dépression (p = 0,008, d de Cohen = 1,06), ainsi qu’entre le groupe témoin et le groupe dépressif (p = 0,023, d de Cohen). d = 0,89). Il n’y avait pas de différence significative entre le groupe témoin et le groupe maniaque (p = 0,708, d de Cohen = 0,08), comme le montre la figure 4B.

En présence d’une charge cognitive élevée, sur la figure 4B, le groupe témoin était significativement plus long que le groupe dépressif (p = 0,105, d de Cohen = 0,81), ainsi qu’entre le groupe maniaque et le groupe dépressif (p = 0,008, d de Cohen). d = 1,25). Alors qu’il n’y avait pas de différence significative entre le groupe maniaque et le groupe témoin (p = 0,231, d de Cohen = 0,34).

Répartition des fixations

Sur la figure 3C, la distribution de fixation sous charge cognitive élevée était significativement inférieure à celle sans charge cognitive externe parmi tous les participants, F (1, 48,29) = 82,20, p < 0,001, ainsi que dans trois groupes, p < 0,001, les données sont présentées dans le tableau 2. Sans différencier le niveau de charge cognitive, le groupe dépression avait la distribution de fixation d'AOI la plus faible, atteignant 0,090, inférieure au groupe témoin et au groupe manie, 0,102 et 0,097 respectivement. En présence d’une charge cognitive élevée, la distribution des fixations a diminué dans tous les groupes. Les groupes maniaques et dépressifs ont présenté une diminution plus importante de la distribution des fixations que le groupe témoin, soit une diminution de 0,016 et 0,014, respectivement, de 0,105 à 0,089 et de 0,097 à 0,083 (p < 0,001). Le groupe témoin a diminué de 0,107 à 0,096 (p < 0,001), avec une diminution de 0,011. Sans différencier le niveau de charge cognitive, il n’y avait pas de différences significatives entre les trois groupes, F (2, 48,95) = 1,24, p = 0,298.

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Analyse de corrélation

Il existait une corrélation négative significative entre les caractéristiques de suivi oculaire et les scores de l’échelle de dépression. D’après la figure 5, le pourcentage d’échantillon d’AOI était négativement corrélé aux scores de l’échelle de dépression (r (52) = − 0,334, p = 0,016, Fig. 5A), ainsi qu’entre la durée de fixation de l’AOI et les scores de l’échelle de dépression (r (52 ) = − 0,332, p = 0,016, figure 5B). En outre, la distribution de la fixation était négativement corrélée aux scores de l’échelle de dépression (r (52) = − 0,304, p = 0,028, Fig. 5C), indiquant que plus les participants obtenaient des scores élevés sur l’échelle de dépression, plus ils se concentraient sur la zone centrale.

Figure 5
chiffre 5

Analyse de corrélation entre les scores de l’échelle et les caractéristiques de suivi oculaire. L’axe horizontal représente les scores de l’échelle maniaque ou de l’échelle de dépression, et l’axe vertical représente les caractéristiques de suivi oculaire, y compris le pourcentage d’échantillon AOI, la durée de fixation AOI et la distribution de fixation, celles avec une corrélation significative sont tracées en lignes rouges.

Contrairement aux scores de l’échelle de dépression, il n’y avait pas de corrélation significative entre le pourcentage d’échantillon d’AOI et les scores de l’échelle maniaque (r (52) = 0,189, p = 0,181, Fig. 5D), ainsi qu’entre la durée de fixation de l’AOI et l’échelle maniaque. scores (r (52) = 0,210, p = 0,135, Fig. 5E). En outre, il n’y avait aucune corrélation entre la distribution de fixation et les scores de l’échelle maniaque (r (52) = − 0,016, p = 0,910, Fig. 5F).

Analyse et classification des quiz arithmétiques

Les résultats du quiz arithmétique ont montré que la précision du groupe témoin était la plus élevée, atteignant 63,86 %, F (1, 51) = 5,481, p = 0,007. Le groupe dépression et le groupe manie étaient inférieurs au groupe témoin, respectivement 54,55 % et 58,48 %. Cela suggère que le groupe dépressif et le groupe maniaque peuvent avoir des difficultés à effectuer plusieurs tâches à la fois par rapport au groupe témoin. Dans nos tâches de classification, la précision du groupe dépression atteint 83,33 %. Cependant, la précision de la classification du groupe maniaque n’a pu atteindre que 68,26 %. La précision du groupe dépression par rapport au groupe témoin est supérieure à celle du groupe maniaque, qui est proche de 15 %.

2023-10-08 12:40:25
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