Une équipe impressionnante avec un pedigree Michelin dans ce nouveau bar à vin et restaurant – The Irish Times

Une équipe impressionnante avec un pedigree Michelin dans ce nouveau bar à vin et restaurant – The Irish Times

Bar à vins Darog

Adresse: 56 rue Dominick inférieure, Galway, H91 K225

Téléphone: 091-565813

Cuisine: Internationale moderne

Coût: €€€

Est-il possible d’être deux choses ? C’est, diront certains, une stratégie risquée. Mais déjà, alors que nous sommes installés autour d’une petite table ronde à Daróg dans la ville de Galway, on a l’impression qu’il s’agit à la fois d’un bar à vins et d’un restaurant.

Il y a un flux constant de personnes qui viennent prendre un verre de vin, à partir d’une liste qui comprend 28 options au verre ainsi qu’une poignée de spécialités inscrites au tableau. Ces walk-ins sont perchés sur de hauts tabourets près de la fenêtre et près du grand comptoir du bar, flanqués d’étagères de bouteilles de vin aux étiquettes colorées, la brigade de faible intervention. Ils semblent connaître tout le monde dans la salle, comme le font généralement les gens de Galway. En effet, on me fait même un signe de tête en sortant. Ce n’est qu’après que je réalise qu’il s’agit de Diarmuid Ó Mathúna du merveilleux café Pota dans le Connemara.

Et puis il y a la carte, qui ressemble beaucoup à celle d’un restaurant de petites assiettes, avec le snack, le schtick froid et chaud, tous les plats à moins de 20 €, à l’exception du bœuf maturé et d’une charcuterie-fromage. plaque. Nos convives sont assis autour d’une poignée de tables basses et de quatre tables hautes au fond.

Les locaux abritaient auparavant le restaurant Tartare de JP McMahon et se trouvent en face de son restaurant étoilé Michelin, Aniar. On a l’impression qu’il est ouvert depuis bien plus de deux mois ; probablement parce que les propriétaires sont des professionnels chevronnés du secteur : Zsolt Lukács, l’ancien sommelier d’Aniar, et son épouse, Edel McMahon-Lukács, la sœur de JP McMahon. Dans la cuisine compacte et semi-ouverte, Attila Galambos, l’ancien sous-chef d’Aniar et plus récemment de Lignum, apparaît tout juste ; sa tête penchée alors qu’il s’occupe de la vaisselle.

Au rayon snacks, deux huîtres Dooncastle (9,50 €) sont chatouillées avec du concombre fermenté, de la crème fraîche et de l’huile d’aneth ; ils sont frais et délicieux avec des saveurs bien équilibrées. Ils s’accordent parfaitement avec le Domaine Maire « Grand Minéral » 2018 (32 €), un chardonnay du Jura qui constitue l’entrée de gamme d’une carte bien choisie. En fait, la liste a remporté une étoile d’or dans la catégorie carte des vins durables des récents prix Star Wine List.

On enchaîne avec les maquereaux de ligne (15 €) du rayon froid. Le poisson a été légèrement salé et grillé sur du charbon de bois pendant juste le temps que les huiles commencent à couler et que la peau se carbonise. Coupé en petits morceaux, il repose sur une sauce crème fraîche agrémentée d’huile de fenouil. Des touches d’émulsion de fenouil sont garnies de salsifis frits et de micro-pousses.

Dans la partie chaude du menu, certains plats semblent avoir une influence japonaise, avec des mentions de miso, de ponzu et de daikon, mais sont en réalité plus nordiques dans leur exécution. Des coquilles Saint-Jacques (16,50 €), saisies jusqu’à ce qu’elles soient dorées, reposent dans une sauce ponzu, un beau mélange de beurre, d’agrumes et de mirin, écumant sur de minuscules cubes de daïkon et de poireaux.

De jeunes navets (13 €) garnis de tranches de radis opaques s’accompagnent des saveurs terreuses et automnales des champignons maitake confits, équilibrées par une sauce miso aux graines de courge avec une pointe d’acidité. Nous aurions dû commander du pain pour éponger cette merveilleuse sauce.

Le bœuf maturé (28 €) est cuit sur la braise, deux tranches cuites saignantes, avec des jeunes poireaux, céleri-rave et beurre noisette. Un épais arôme de viande grésillante traverse la pièce, j’espère qu’un système d’extraction supérieur est sur la liste de courses. Mais c’est le seul reproche que je puisse faire à toute la soirée, surtout quand on commence à déguster les pommes de terre hasselback frites (7,50 €), assez spectaculaires avec une hollandaise mousseuse à l’estragon.

Autre bonheur en dessert : crème caramel au café (9,90 €), entourée de graines de courge confites qui apportent le croquant et la texture du praliné, et quelques feuilles de tagètes (souci du Mexique) délicieusement aromatiques.

Daróg signifie petit chêne et cela ressemble vraiment à un petit restaurant au cœur puissant. Il dégage l’atmosphère conviviale d’un bar à vin décontracté, mais de nombreux plats sophistiqués ne seraient pas déplacés dans un menu étoilé Michelin. Les saveurs sont vives, les produits de première qualité et le service est soigné d’une manière détendue qui ne détourne pas votre soirée.

C’est un véritable bar où l’on peut venir prendre un verre de vin autant qu’un repas. Ce n’est pas une chose facile à réaliser.

Le dîner pour deux avec une bouteille de vin coûtait 131,40 €.

LE VERDICT: Mets et vins délicieux d’une équipe avec un pedigree Michelin.

Musique: Sœur Sledge et Luther Vandross.

Origine des aliments : Glenmar, Mary’s Fish, Brave Herders, Andarl Farm, Bullaun Ark, Bia Oisín et Stephen Gould.

Options végétariennes : Pain perdu grillé avec crème au fromage, mozzarella Toonsbridge, courgettes grillées au caillé de chèvre, navets avec sauce miso aux graines de citrouille. Les plats peuvent être adaptés pour les végétaliens.

Accès en fauteuil roulant: Accessible avec toilettes accessibles.

2023-10-26 07:49:04
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