Une étude soutient l’effet préventif sur le cancer du côlon

Pour leurs investigations, les chercheurs dirigés par Sara Nafisi de l’Institut national de santé publique d’Oslo ont utilisé plusieurs bases de données nationales, dont le registre norvégien du cancer et des prescriptions. Entre 2004 et 2018, ils représentaient 2 186 390 adultes de plus de 50 ans, dont 579 196 personnes (26,5 %) s’étaient vu prescrire au moins une fois de l’aspirine à faible dose. La majorité avait pris des comprimés de 75 mg (80,7 pour cent). Au cours de la période d’observation d’une moyenne de 10,9 ans, 38 577 personnes (1,8 %) ont reçu un diagnostic de cancer du côlon.