2024-08-12 15:59:40
En juin dernier, un moins de 15 ans était présent au commissariat de quartier 4D de Barracas pour signaler qu’il avait été victime d’un abus sexuel. À ce moment-là, la victime a désigné comme agresseur un camarade de classe dont elle a déclaré ne pas se souvenir du nom.
Le parquet pénal et pénitentiaire de première instance n°5, dirigé par le Dr De Tezanos, a demandé l’intervention de la Division des crimes contre les groupes vulnérables et de la traite des êtres humains pour retrouver l’endroit où se trouve l’agresseur.
Au début des investigations, les policiers, avec l’autorisation de la Justice, ont interrogé la mère du mineur, qui a indiqué que la jeune femme ne voulait pas parler.
Les autoritaires n’aiment pas ça
La pratique du journalisme professionnel et critique est un pilier fondamental de la démocratie. C’est pourquoi cela dérange ceux qui croient détenir la vérité.
Cependant, la victime elle-même s’est adressée aux policiers et leur a remis une lettre leur demandant de ne pas dire à sa mère, qu’elle disait la vérité dans ces lignes et qu’elle ne faisait confiance qu’à la police municipale.
En examinant le document, les chercheurs ont découvert qu’il était écrit avec des symboles n’appartenant à aucun alphabet et, au dos, la référence de chaque dessin avec la lettre correspondante. En outre, il y avait un texte dans lequel il demandait à nouveau qu’on ne révèle pas à sa mère ni le nom de la personne responsable de l’attaque. Là, il a été confirmé que dans la première déclaration, la jeune femme avait menti lorsqu’elle avait été menacée par l’agresseur.
Ils ont ainsi découvert que la mineure avait rencontré son agresseur sur la voie publique et que celui-ci l’avait emmenée chez lui où il l’avait enfermée et maltraitée. Avec toutes les informations recueillies, les chercheurs ont effectué des tâches de terrain à proximité du domicile de l’intéressé.
D’autre part, les réseaux sociaux ont également fait l’objet d’une enquête et il a été établi que l’agresseur utilisait un faux nom, tant sur son profil Instagram que dans le quartier. Après avoir vérifié de manière fiable l’adresse de l’agresseur, le magistrat intervenant en a été informé et a ordonné son arrestation immédiate.
FL
#Une #jeune #fille #ans #dénoncé #son #agresseur #avec #une #lettre #écrite #avec #des #symboles
1723470159