“Une protéine qui va jusqu’à notre cerveau et nous encourage à faire plus d’exercice”

2024-08-15 17:29:36

Tous les experts sont d’accord sur quelque chose : faire sport C’est une habitude très saine que chacun devrait introduire dans sa routine. Aller à la salle de sport, courir ou pratiquer différentes activités sportives est idéal pour garder notre santé « en forme ». Cependant, parfois, on ne peut s’empêcher de ressentir paresse en le pratiquant. Il y a des moments où notre corps ne se sent pas prêt à s’exposer à un tel effort physique.

Se sentir mal de ne pas avoir fait de sport pendant une journée est un sentiment très courant. Ce que vous ne saviez pas, c’est que cela, selon des recherches menées par des experts, peut s’expliquer par la science de notre corps. Une étude menée par des scientifiques espagnols de Centre National de Recherche sur le Cancer (CNIO), aurait pu découvrir une sorte de changer que, s’il est activé, l’envie de faire du sport s’active avec lui. S’il n’est pas activé, c’est le contraire qui se produit : l’envie de le pratiquer cesse.

En réalité, les experts soulignent dans cette étude publiée dans la revue ‘Sciences Advances’ qu’ils sont de protéines Ils activent la zone du cerveau qui contrôle le mouvement et cela nous encourage à être plus actifs. Chez les personnes obèses, ils s’expriment avec des valeurs plus faibles.

Les résultats des travaux scientifiques publiés mettent en lumière la possibilité que des médicaments puissent être conçus qui activent ces protéines et encouragent l’activité physique.

L’enquête est entre les mains de Guadalupe Sage, du Centre National de Recherche sur le Cancer (CNIO). Les signataires sont Letizia Herrera et Cintia Folgueira, toutes deux du CNIC. En outre, certains scientifiques des centres des îles Canaries, de Castille-et-León et de Galice ont participé.

Comment a-t-il été découvert ?

Au travail, il a été prouvé que le muscle lui-même est ce qui régule l’intérêt pour l’exercice grâce à des signaux de signalisation entre le muscle et le cerveau.

“Nous avons découvert comment le muscle lui-même régule l’intérêt pour l’exercice via une voie de signalisation entre le muscle et le cerveau que nous ne connaissions pas, et qui est l’une de celles qui contrôlent (car il doit y en avoir plusieurs) que lorsque nous faisons de l’exercice, nous avons cette impulsion pour en faire encore plus”, explique Guadalupe Sabio , auteur principal de l’étude et responsable du CNIO.

Sabio explique également à EFE qu’on ne savait pas comment les muscles contrôlent ou non le désir de faire de l’exercice et que les chercheurs ont découvert quelles protéines sont activées pour stimuler ce désir. Ils montrent également que les protéines produites par le muscle lors de l’exercice se régulent mutuellement, pour éviter que le désir de continuer à faire de l’exercice ne nuise à l’organisme.

Cette découverte a été faite, comme le souligne l’article publié dans la revue scientifique, grâce à des données obtenues sur des animaux et des humains (bénévoles, y compris des patients obèses).

Explication scientifique

Ce désir de continuer à faire de l’exercice est dû à contraction musculaire de manière répétée et intense à cause de l’exercice. Cela active le de protéines mentionné précédemment, dont le nom technique est p38a et p38?. Les deux se régulent mutuellement, donc l’intérêt de faire une activité physique est plus ou moins grand selon le degré d’activation de chacun.

Foins une troisième protéine impliqués qu’ils ont prouvé qu’il a un effet direct sur la partie du cortex cérébral, qui contrôle le mouvement. Son augmentation, fonctionne comme un signal au cerveau pour améliorer l’activité motrice, ce qui pousse les animaux et les humains à être volontairement plus actifs.

Une découverte bénéfique

Cette découverte scientifique pourrait être un révolution pour ces gens qui souffrent obésité. Chez les animaux ayant un régime riche en graisses et souffrant d’obésité, cet exercice constant avec stimulation de ces protéines s’est révélé bénéfique.

Chez l’homme, il a été observé que les deux protéines p38 sont activées dans les muscles qui exercent une activité d’intensité croissante. Cette relation avec l’obésité est fondamentale, puisqu’il s’agit du trouble métabolique le plus répandu dans le monde et dont la prévalence et l’incidence sont en constante augmentation. Il L’exercice régulier est considéré comme une stratégie efficace tant pour sa prévention que pour son traitement.

Est-ce que ça change en fonction de l’exercice ?

Pour Guadalupe Sabio, il est important d’étudier si différents types d’exercices stimulent plus ou moins ces protéines et aussi s’ils ont le même effet chez une personne obèse ou chez une personne non obèse. Que peut aider les entraîneurs à concevoir des programmes d’exercice avec un niveau de réussite plus élevé.

Le sage vise plus haut et parie même sur création d’un médicament dérivés de ces protéines pour les personnes ayant un plus grand besoin de bénéficier des bons effets de l’exercice physique.

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