Une veuve poursuit les autorités locales en justice pour le décès de son mari alors qu’il effectuait des travaux d’entretien dans une installation de traitement des eaux le soir du Nouvel An il y a quatre ans.
Vincent O’Brien, employé du conseil du comté de Wicklow, travaillait comme gardien à l’usine de Cronroe, Ballymachara, le 31 décembre 2019, lorsque l’incident mortel s’est produit.
Sa veuve, Caroline O’Brien, de Ballymote, Glenealy, Co Wicklow, poursuit le conseil du comté de Wicklow pour des préjudices corporels présumés résultant de sa prétendue négligence et d’un manquement à ses obligations envers son mari.
Son cas affirme que deux travailleurs ont trouvé M. O’Brien, 58 ans, sur le sol de la salle de chlore. Elle allègue qu’ils n’ont pas pu entrer en raison des niveaux de gaz dans la pièce et que le personnel d’urgence a été appelé pour y entrer avec un appareil respiratoire.
Elle allègue qu’un travailleur a rapporté qu’un robinet sur des bouteilles de chlore était ouvert, l’un étant effectivement vide et l’autre libérant du gaz.
Une enquête de l’Autorité de santé et de sécurité (HSA) s’est terminée début 2021 et une décision a été prise de ne pas engager de poursuites pour sa mort.
Son cas a récemment été porté devant le juge Max Barrett, qui a accédé à sa demande d’ordonner le renouvellement de ses documents judiciaires originaux, déposés plus d’un an auparavant.
Il a dit qu’il « appréciait pleinement[s]» La mort de M. O’Brien a dû être un choc pour Mme O’Brien. Cependant, le calendrier des procédures pour préjudices corporels est « très serré » et les tribunaux doivent « trouver un équilibre » lorsqu’ils envisagent les retards dans les affaires.
On ne peut pas supposer qu’en cas de retard, le tribunal « placera le chagrin d’un client et l’empathie d’un avocat au-dessus de l’intérêt du défendeur à ce que la procédure soit engagée dans les délais et à un rythme approprié ».
L’avocat de Mme O’Brien a soutenu que le renouvellement de la convocation de son client n’avait pas porté préjudice aux autorités locales. À l’inverse, a-t-elle déclaré, un « préjudice irréparable » serait causé à Mme O’Brien et à sa famille si le tribunal refusait de renouveler le document, car son action, qui est également au nom des personnes à charge statutaires de M. O’Brien, serait prescrite. .
Le juge Barrett a déclaré qu’il y avait des « circonstances particulières » dans cette affaire qui justifient le renouvellement.
Même s’il y a « sans aucun doute » un certain degré de préjudice pour le conseil dans la mesure où il sera poursuivi pour une action qui serait autrement prescrite, il a dû anticiper ces procédures, a-t-il déclaré.
S’il refusait la demande de Mme O’Brien, il y aurait « toutes les possibilités d’injustice » sous la forme d’un « préjudice extrême » pour elle et les personnes à la charge de M. O’Brien, a ajouté le juge.
L’action de Mme O’Brien allègue que les blessures mortelles de son défunt mari ont été causées par la négligence, un manquement à ses devoirs et une rupture de contrat de la part du conseil.
Elle allègue que les autorités locales ne lui ont pas fourni un lieu de travail sûr et l’ont exposé à un risque prévisible. Elle affirme également que cela l’a soumis à un stress déraisonnable et qu’il n’a pas réagi de manière adéquate, voire pas du tout, à la suite de ses plaintes.
Elle intente une action en dommages-intérêts pour blessures corporelles, détresse émotionnelle et perte présumées.
2024-01-31 20:19:23
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