Valeo a obtenu un avantage net attribué à 162 millions en 2024, 26,7% en moins

Madrid 28 février (Europa Press) –

Le fabricant de composants de Valo Vehicles a atteint un bénéfice net attribué à 162 millions d’euros en 2024, ce qui représente 26,7% moins que les 221 millions d’euros que la société a obtenus en 2023.

La société française a atteint un volume de ventes total de 21 492 millions d’euros, soit 2,5% de moins que ses activités de 2023, qui ont obtenu 22 044 millions d’euros. L’Europe et l’Afrique étaient la principale enclave commerciale de Valeo, avec 11 083 millions obtenues dans la fabrication de ses produits, devant l’Asie et l’Amérique du Nord avec 6 819 et 3 933 millions d’euros, respectivement.

Valeo a obtenu des prestations avant les intérêts, les impôts, l’amortissement et l’amortissement (EBITDA) calculées par l’entité de 2 863 millions d’euros, augmentant de 8% en valeurs de l’année en ce qui concerne 2 647 millions d’exercices 2023.

La dette nette de la société est de 3 813 millions d’euros, ayant atteint une réduction de 5,3% en 2024, ce qui se traduit par une contraction de la dette de 215 millions.

Valeo proposera un dividende de 0,42 euros par action au prochain conseil général des actionnaires, augmentant en deux cents le taux de dividende actuel.

Prévisions pour 2025

Le fournisseur de fournitures de véhicules a également annoncé, dans sa présentation des résultats, les prévisions de l’entité d’ici 2025, dans lesquelles ils espèrent atteindre un chiffre d’entreprise entre 21 500 et 22,5 milliards d’euros et une augmentation de la marge d’EBITDA entre 13,5% et 14,5%.

“En 2024, Valeo a poursuivi son reprise, il a atteint ses objectifs de rentabilité et de trésorerie disponibles et a réduit sa dette dans un environnement de marché difficile. En 2025, nous continuerons à promouvoir notre reprise et nous aspirons à une amélioration supplémentaire de notre performance financière”, a déclaré le directeur exécutif de l’entité, Christophe Périlat.

D’un autre côté, Perillat a déclaré que les fournisseurs à eux seuls ne pouvaient pas soutenir le chargement “très important” de tarifs prévus par le président Donald Trump souhaitait mettre en œuvre des produits européens. Par conséquent, le PDG a expliqué qu’ils n’auraient d’autre choix que de “transférer le prix des tarifs aux clients”.