Van Quickenborne travaille à l’expansion nationale des lignes d’assistance téléphonique anonymes | intérieur

Van Quickenborne travaille à l’expansion nationale des lignes d’assistance téléphonique anonymes |  intérieur

Les hotlines anti-drogue anonymes du Limbourg et d’Anvers portent leurs fruits dans la lutte contre les plantations de cannabis et les laboratoires de drogue. C’est pourquoi le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open VLD) travaille à une extension nationale des hotlines.

Outre la lutte contre l’importation de drogue, y compris via le port d’Anvers, la multiplication des plantations de cannabis et des laboratoires de drogue est également au centre de la lutte contre la criminalité organisée liée à la drogue. Le Limbourg et Anvers travaillent depuis plusieurs années avec des hotlines anonymes, où les citoyens peuvent signaler anonymement des activités suspectes.

Les chiffres demandés par la députée Open VLD Marianne Verhaert montrent que le centre de notification des drogues du Limbourg a reçu 1 173 signalements depuis son lancement en 2019 (jusqu’à la mi-octobre 2022). Le nombre de signalements augmente également chaque année. Ces rapports ont conduit à la découverte de 39 plantations de cannabis et de six laboratoires illégaux où des drogues synthétiques étaient produites. Les chiffres du point de déclaration des drogues d’Anvers, qui a été lancé fin 2021, sont similaires. Il y a 271 rapports en 2022 et 39 dans les premières semaines de cette année.

“Excellent complément”

“Les permanences téléphoniques sont un excellent complément à la lutte contre le commerce et la production de drogue. Nous devons continuer à travailler dans ce sens”, déclare la députée Marianne Verhaert. Elle préconise de faire connaître encore plus largement les lignes directes et de fournir également des lignes directes dans le reste du pays. “Après tout, le problème ne se limite pas à Anvers et au Limbourg”, déclare le politicien Open VLD.

Le ministre Van Quickenborne est disposé à écouter cette question. “Tous les citoyens de ce pays doivent pouvoir signaler des activités suspectes de manière anonyme. C’est pourquoi, avec le Collège des procureurs généraux et le commissaire national aux stupéfiants, j’examine comment nous pouvons étendre le fonctionnement des points de signalement anonymes des drogues à l’échelle nationale et le faire mieux connaître du grand public, avec un point de signalement par province ou, si cela serait plus efficace, une hotline nationale », précise le ministre Open VLD.

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