2024-01-25 19:09:29
Depuis le 22 janvier dernier, les scooters et véhicules de mobilité personnelle (VMP) neufs doivent être certifiés pour circuler. C’est ce qui est indiqué dans le Manuel des caractéristiques techniques du VMP publié par la Direction Générale de la Circulation (DGT). Toutes les marques et modèles existants sur le marché doivent être certifiés selon la nouvelle norme, mais un moratoire a également été instauré sur les scooters et autres VMP non certifiés, qui pourront continuer à circuler jusqu’en janvier 2027. La liste des marques et modèles qui existent disposer actuellement d’un Certificat VMP, conformément au manuel des caractéristiques VMP publié par Arrêté du 12 janvier 2022, de la Direction Générale de la Circulation peut être consulté dans cette liste publiée par la DGT, en cliquant sur [AQUÍ] . Nouvelles liées norme Pas d’alerte pour les accidents avec des scooters : Blessures graves à 25 km/h Canal Motor Selon les dernières données sur les accidents de la route publiées en Espagne, près de 5% des accidents avec victimes en zone urbaine impliquaient un VMP tel que les scooters Selon le nouveau Selon la réglementation, l’une des exigences applicables aux scooters électriques est d’avoir une plaque de marquage d’usine unique, qui sera placée à un endroit visible sur le véhicule à l’aide de rivets. Celui-ci, comme précisé à l’article 26 du manuel des caractéristiques, comprendra le numéro de série ou son identification, la marque, le modèle, la vitesse maximale atteinte, l’année de fabrication et le numéro de certificat. Egalement une fiche de caractéristiques techniques réduite, et un document indiquant que le véhicule appartient à la catégorie VMP. Quant aux autres caractéristiques, ils ne pourront rouler qu’à une vitesse maximale de 25 km/h, après quoi le moteur cessera de propulser le véhicule. De plus, ils disposeront de systèmes anti-manipulation, tant au niveau de la vitesse que de la puissance. Ils doivent également disposer d’un indicateur d’information visible qui indique la vitesse à laquelle il roule et le niveau de la batterie. Tous les véhicules destinés au transport personnel doivent disposer de deux freins indépendants, avec une décélération minimale de 3,5 m/s2. De plus, les véhicules à plus de 2 roues doivent être équipés d’un frein de stationnement. Les véhicules de mobilité personnelle doivent être équipés de réflecteurs avant (blancs), des deux côtés (blanc ou jaune auto) et arrière (rouges). De plus, le feu stop doit être différencié ou combiné avec le feu arrière. Selon la Fédération espagnole des véhicules de mobilité personnelle (Fevemp), après la publication et l’entrée en vigueur de cette réglementation, une série de canulars ont été générés qui, à leur tour, ont semé la confusion parmi les utilisateurs de ce type de véhicules. Ainsi, de cet organisme, ils précisent que la certification du scooter électrique n’est pas une plaque d’immatriculation, mais repose sur les caractéristiques qu’il doit remplir pour que la DGT délivre un certificat en faveur, accompagné d’une plaque d’identification du véhicule certifié par son numéro de série, qui sera apposé sur le côté du véhicule. Il ne s’agit en aucun cas d’une plaque d’immatriculation, car c’est juste une plaque qui renseigne sur cette certification, et il n’est pas possible d’infliger une amende pour ne pas la porter tout en étant un modèle certifié. Amendes Les scooters et monocycles électriques sans certificat, vendus avant le 22 janvier 2024, bénéficient d’un moratoire d’utilisation jusqu’au même jour en 2027, date à laquelle ces véhicules sont officiellement interdits de circulation sur la voie publique. De la Fevemp, ils précisent que toute amende liée à cet aspect n’est pas valable et doit faire l’objet d’un appel en informant dûment la police compétente. «Les utilisateurs ordinaires ne devraient pas s’inquiéter de l’obtention de tout type de document, car cela ne concerne que les entreprises et les entreprises dédiées à la vente de scooters électriques, et en théorie ils ne pourront vendre aucun véhicule en Espagne qui n’aura pas été testé et validé. par la DGT à compter du 22 janvier 2024″, précise-t-on auprès de cet organisme. PLUS D’INFORMATIONS actualité Non Découvrez si vous savez conduire sous la pluie et réagir à l’aquaplaning actualité Non La nouvelle Volkswagen Golf impressionne pour son 50ème anniversaire actualité Non Peugeot e-308 : efficacité maximale en mode électrique En revanche, ils précisent que les monocycles électriques, de par leur caractère auto-équilibré et leur composition d’une seule roue, il est impossible de les certifier par la DGT car cela nécessite un double frein mécanique, un guidon et un écran d’affichage visible. “Comme ils ne sont pas certifiables, il n’est aujourd’hui possible de certifier aucun monocycle, ce qui les condamne à l’extinction en 2027”, explique l’Association.
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Vérités et canulars sur la nouvelle réglementation sur les trottinettes électriques
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