Violetta Caprotti et ces 50 millions réclamés par le fisc. Mais le bouclier anglais casse

Violetta Caprotti et ces 50 millions réclamés par le fisc.  Mais le bouclier anglais casse
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Esselunga, le contentieux Italie-Angleterre sur les Caprottis éclate

Entre l’héritier du fondateur de longue S Bernardo Caprotti et les IRS un litige a éclaté concernant des impôts présumés impayés par Violettela fille de l’homme responsable du succès de la marque dei supermarchés. Six ans et demi après la disparition de Bernard Caprotti, – nous lisons dans Repubblica – la Guardia di Finanza a terminé une longue enquête qui concerne la impôts payé par sa fille Violetta, sur les opérations réalisées pour ranger les parts sociales héritées avec le reste de la famille. L’enquête ne concerne pas Esselunga, mais une société immobilièreLa Villata, qui au moment de la disparition de l’entrepreneur – en septembre 2016 – était propriétaire de certaines bâtiment héberger les magasins. La vérification s’est terminée dans les derniers jours de mars et les financiers ont remis la documentation à l’Agence du Entrezen supposant que Violet a évité De payer impôts pour un Cinquante millions d’euros.

Violettecependant – poursuit la République – réside dans Londres et fait l’objet de Fiscalité britannique. Ce qui permet sur ce point réinitialiser les taxes sur les actions héritées de la société, si elles sont vendues à leur valeur marchande. La Guardia di Finanza, après avoir constaté que la fille de l’entrepreneur réside effectivement tout estroleur conteste cependant un abus du traité entre l’Italie et le Royaume-Uni sur double imposition. Le raisonnement des financiers est basé sur la valeur différente de la participation aux fins des droits de succession que Violetta a payé en Italie, par rapport à celui utilisé au Royaume-Uni pour la vente ultérieure. A l’inverse le Autorités britanniquesconsulté par les avocats de Violetta pour fournir un justificatif de domicile et les relevés fiscaux des impôts payés depuis son emménagement à aujourd’hui, ils n’ont rien et plaider et faire savoir qu’ils sont prêts à régler la question avec l’Italie avec la procédure appropriée prévue par le traités bilatéraux.

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