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Vivre avec la douleur : une réalité vécue par un Espagnol sur quatre

Vivre avec la douleur : une réalité vécue par un Espagnol sur quatre

2023-10-29 02:28:23

Mis à jour

Dans les unités anti-douleur, ces patients sont traités différemment selon « l’échelle analgésique » de l’OMS. Cela signifie qu’il ne s’agit pas uniquement d’opioïdes, comme le fentanyl.

Illustration deLUIS PAREJO

Un Espagnol sur quatre souffre la douleur chronique. Concrètement, et selon les données du dernier baromètre de la douleur chronique présenté en avril dernier, 26 % des citoyens souffrent de cette maladie qui conditionne leur vie quotidienne.

Un pourcentage de personnes en augmentation ces dernières années et dont Dans de nombreux cas, le seul espoir est de se rendre dans une unité anti-douleur. où, grâce à différentes techniques et médicaments, ils parviennent à restaurer la qualité de vie qui leur a été enlevée.

Quand la douleur est-elle considérée comme chronique ?

Pour que la douleur soit considérée de cette façon, elle doit apparaître plus de quatre jours par semaine enfin plus de trois mois. Vivre toute la journée avec une douleur qui neutralise Faire les courses, aller au travail ou faire les tâches ménagères est terrible, auquel il faut ajouter l’incompréhension d’une grande partie de la société.

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Quel est le profil des patients ?

Le profil le plus courant du patient souffrant de douleur chronique est celui d’un femme entre 55 et 75 ans, avec un faible pouvoir d’achat et de mauvaises habitudes de vie. Ils souffrent plus qu’eux, notamment la prévalence est de 31% contre 21%.

Par localisation, la douleur la plus courante est dosgénéralement pour scoliose ou protubérances inopérable, suivi de celui produit par arthrose du genou, hanche et épaule. En troisième position se trouveraient les douleurs d’origine oncologique.

Mais la douleur est-elle un symptôme ou une maladie ?

Depuis Semdorla Société espagnole de la douleur, Ils sont clairs : « Le la douleur chronique Ce n’est pas un symptôme, C’est une maladie en soi. “Trois mois après le début de la douleur, celle-ci devient une maladie car des circuits de mémoire sont générés et continuent d’être mémorisés même si le patient est guéri.”

Qu’est-ce qu’une unité de douleur ?

Il s’agit d’une unité hospitalière spécialisée dans contrôle de la douleur au sens large du terme, c’est-à-dire la douleur chronique mais aussi celle qui survient après une intervention chirurgicaleet traumatisme ou pour un infection. Dans le cas des douleurs chroniques, beaucoup d’entre elles sont incurables, mais elles peuvent être soulagées.

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Comment traitent-ils la douleur dans ces unités ?

Ces dernières années, des progrès sont apparus qui leur permettent d’utiliser différentes techniques essayer de soulager la douleur des patients, et pas seulement par l’utilisation de médicaments puissants.

Depuis le utilisation d’appareils à radiofréquence qui agissent sur les nerfs affectés aux électrodes de stimulation vertébrale qui recherchent couper la transmission des signaux nerveux de la douleur avant qu’ils n’atteignent le cerveaugrâce à l’utilisation de traitements régénératifs avec des plaquettes et des cellules souches ou des blocs nerveux.

Mais l’approche de la douleur chronique dans ces unités est toujours multidisciplinairenon seulement en utilisant des techniques ou des médicaments, mais également en incluant une thérapie physique ou un soutien psychologique, entre autres.

Quels types de douleurs traitent-ils ?

Ceux causés par des problèmes de santé tels que sténose du canal rachidien, la névralgie du trijumeaufibromyalgie, névralgie postherptique, douleurs d’origine oncologique, douleurs post-chirurgicales… la palette est très large.

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Les drogues que vous consommez créent-elles une dépendance ?

À un patient qui arrive dans cette unité pas si vous prescrivez un opioïde puissant comme le fentanyl dès que vous franchissez la porte, avant d’atteindre le est testé avec d’autres drogues suivant le fameux “Échelle analgésique de l’OMS“.

Il Le Fentanyl serait sur la troisième marche de cette échelle, et avant d’en arriver là, nous avons des médicaments non opioïdes comme le métamizole ou le diclofénac et des opioïdes faibles comme le tramadol. Avant même de passer à cette troisième étape, les médicaments des deux premières étapes sont combinés.

Mais c’est vrai que les opioïdes de ce troisième échelon peuvent créer une dépendanceet pour cette raison et afin d’essayer de l’éviter dans ces les unités ont recours à un système de rotation de drogues.



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