Au niveau de la «sécurité», vous ne êtes pas devenu ministre de l’Intérieur, mais vous réclamez une visite de sécurité. Comment ?
Les solutions sont multiples. Cela implique en particulier un renforcement des numéros de police. Une autre mesure consiste à mobiliser des soldats pour assurer une surveillance statique sur le niveau de risque classé des sites 3.
Ce ne sont pas très chauds …
Les syndicats s’y opposent, mais j’ai vu, dans l’enseignement, SNCB, TEC et même dans l’armée, qu’il y a un écart entre ce que les syndicats disent et ce que les agents veulent vraiment. Partout en Europe est déjà terminé. Pourquoi serait-ce un problème avec nous? Nous parlons de sites sensibles: réacteurs nucléaires, sites d’hydrogène, sites de GNL, lieux de culte juifs ou certains bâtiments publics. Cela libérerait immédiatement la capacité de la police.
Mais la justice est submergée, les prisons surpeuplées!
La justice doit suivre. Nous renforçons donc les peines. La question est alors: où mettent les prisonniers? Aujourd’hui, 43% des prisonniers ne sont pas de nationalité belge. Il coûte plus de 240 millions d’euros par an au contribuable. Nous mettrons ces détenus, en particulier ceux dans des situations illégales – ou près de 4 000 personnes – dans des prisons à l’étranger. Cela coûtera moins cher et l’objectif est de conclure les conventions avec ces pays afin qu’ils se réfèrent aux prisonniers de leur pays d’origine, avec l’interdiction de retourner dans notre sol.
Et s’ils refusent?
Ensuite, nous utiliserons plusieurs leviers. Nous cesserons d’envoyer de l’argent via une aide au développement. Il est absurde de continuer à financer le développement des nations qui refusent de reprendre leurs propres ressortissants. Nous agirons également sur l’octroi de visas, en particulier les visas dignitaires. Enfin, les accords commerciaux peuvent être utilisés pour exercer une pression. L’Europe doit être respectée.
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