Home » International » Vox n’arrête pas l’hémorragie des démissions à la veille de son Assemblée et se retrouve sans références économiques

Vox n’arrête pas l’hémorragie des démissions à la veille de son Assemblée et se retrouve sans références économiques

by Nouvelles
Vox n’arrête pas l’hémorragie des démissions à la veille de son Assemblée et se retrouve sans références économiques

2024-01-26 02:05:41

Mis à jour

L’ombre de Ivn Espinosa de los Monteros Il est allongé. À tel point que son nom réapparaît à chaque fois qu’un éminent leader de Vox franchit le seuil de sortie. L’absence de l’ancien porte-parole parlementaire de Vox sera l’un des protagonistes de l’Assemblée générale que le parti organise ce samedi pour réélire Santiago Abascal. Vox cherche à clôturer une période de transition organique marquée par des tensions internes croissantes, comme en témoigne le filet de démissions subies par la formation, notamment dans le domaine économique, un drapeau resté orphelin chez Vox depuis les adieux d’Espinosa.

Quelques abandons qui ont ajouté hier un nom nouveau et inattendu. A peine 48 heures avant la célébration du congrès interne de Vox, le bras droit du Monastère de Roco à l’Assemblée de Madrid, José Luis Ruiz Bartoloma annoncé sa retraite de la politique pour revenir à l’activité privée en tant que spécialiste du secteur immobilier.

Avant lui sont venus de nombreux autres dirigeants au profil économique et issus du secteur dit le plus libéral de Vox, comme Víctor Sánchez del Real, Mireia Borrs o Rubn Manso. D’autres ont été mis de côté, comme Vctor Gonzlez o Ins Caizares. Mais aucun de ces mouvements n’a été aussi bruyant que les adieux d’Espinosa.

feuille de route économique

Depuis le mois d’août, où il a annoncé inopinément son abandon, Vox n’a trouvé aucune figure capable d’orienter le discours économique du parti et d’être un symbole de sa feuille de route dans ce domaine. L’ancien porte-parole parlementaire du parti l’a fait en fait en dehors du Comité exécutif national (CEN) de Vox, mais en tant que leader éminent, lorsqu’il présentait, par exemple, le programme économique du parti. Ils sont tout aussi ministériels et Abascal pariait pour un portefeuille économique si Vox parvenait enfin à entrer dans un exécutif commandé par le Parti populaire. Mais ses adieux quelques semaines après le 23-J n’ont pas seulement consacré la chute du secteur considéré comme le plus libéral chez Vox, ils ont aussi porté un coup dur à Abascal par rapport à la stratégie économique du parti.

À tel point que depuis lors, personne ne s’est imposé comme porte-parole en faveur de la formation en la matière. Vox a choisi Peppa Millen comme porte-parole parlementaire et nommé trésorier national du parti fin novembre, Pablo Séz, nouveau porte-parole économique au Congrès. Sez, comme Abascal, économiste et auditeur, a accumulé près de trois décennies d’expérience dans le secteur financier, a été porte-parole à la Commission des Finances et constitue l’engagement ferme de la direction de Vox sur lequel pivotera le discours économique après en avoir fait partie. des équipes qui ont conçu les programmes économiques. Cependant, la figure de Sez – discrète, pratiquement inconnue de l’opinion publique et sans le poids médiatique d’Espinosa de los Monteros – et la période d’impasse dans laquelle se trouve la Chambre basse justement depuis sa nomination ont empêché pour l’instant de développer ce travailler comme porte-parole économique.

Vox, en tout cas, s’est déjà mis au travail pour combler cette lacune. Après l’Assemblée, le parti profitera de son expansion territoriale pour créer des groupes de travail dans différents domaines, dont l’économie, afin d’améliorer la coordination entre la direction et les régions, notamment dans celles où Vox est présent dans les institutions.

Justement en l’absence de leadership économique, commencent à émerger dans les régions autonomes des personnalités responsables en la matière et expérimentées dans le secteur dont l’activité dans leurs scénarios respectifs ne passe pas inaperçue auprès de la direction. C’est le cas du ministre de l’Emploi de Castilla y Len, Zones végétaliennes Mariano; du député valencien Thérèse Ramírezadjoint au maire de Carthagène, Diego Salinasou jusqu’à récemment leader du parti à Séville, Javier Cortésà qui Abascal a confié la direction nationale de Vox depuis octobre.



#Vox #narrête #pas #lhémorragie #des #démissions #veille #son #Assemblée #retrouve #sans #références #économiques
1706251384

You may also like

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.