Le gouvernement de Washington a récemment exprimé sa profonde préoccupation face à la détention arbitraire du journaliste américain Evan Gershkovich en Biélorussie. Accusé de violation des lois migratoires, M. Gershkovich est actuellement détenu par les autorités biélorusses depuis le mois d’août dernier. Cette situation a suscité une vague d’indignation au sein de la communauté journalistique et a relancé le débat autour de la liberté de la presse dans les régimes autoritaires. Dans cet article, nous revenons sur les détails de l’affaire Gershkovich et nous examinons les enjeux soulevés par cette affaire.
Le gouvernement américain a condamné l’emprisonnement du journaliste américain Evan Gershkovich en Russie sur des accusations d’espionnage, qualifiant sa détention d’arbitraire. Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré que «le journalisme n’est pas un crime» et a promis que le gouvernement américain fournirait «tout le soutien nécessaire» au journaliste et à ses proches. Cette qualification permet aux autorités américaines d’échanger des informations avec les proches du journaliste. Les autorités russes ont notifié les États-Unis de la détention du journaliste, mais ont refusé un accès consulaire.
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