Une femme vivant en colocation a remarqué que ses affaires étaient déplacées pendant son absence. Inquiète, elle a installé une caméra de surveillance. Le 19 février, elle a découvert avec horreur que son colocataire entrait dans sa chambre et y commettait des actes indécents.
L’homme, âgé de 38 ans, a été condamné à dix semaines de prison après avoir plaidé coupable d’atteinte à la pudeur. Une autre accusation de violation de domicile a été prise en compte lors de la détermination de sa peine. L’identité de la victime est protégée par une ordonnance de non-publication.
La victime avait constaté depuis le début de l’année que des objets étaient déplacés dans sa chambre, alors qu’elle était la seule à l’occuper. Se sentant mal à l’aise,elle a installé une caméra de sécurité le 16 février 2025. Trois jours plus tard, elle a reçu une notification l’informant d’une détection de mouvement dans sa chambre.
Pendant environ 16 minutes, l’homme a commis plusieurs actes obscènes, sortant de la pièce une fois pendant quelques minutes. Il a notamment enlevé sa chemise et porté les sous-vêtements de la victime. Il a également mis un préservatif et s’est livré à un acte indécent avec la peluche de la victime. Après avoir terminé, il a retiré les sous-vêtements, replacé les vêtements sur le lit dans leur position initiale, puis a rangé le lit.
« En voyant les images de la caméra en direct capturant les actes de l’accusé dans la chambre de la victime, la victime s’est sentie très bouleversée », a déclaré le procureur adjoint Dhiraj G Chainani au tribunal.
« Elle était très effrayée à l’idée de devoir continuer à voir l’accusé dans l’appartement alors qu’ils restaient colocataires. »
« Elle avait également peur et était confuse quant à la nécessité de prendre d’autres dispositions de logement et de devoir informer le propriétaire de l’appartement des actes de l’accusé dans sa chambre. »
La victime a déposé une plainte auprès de la police le jour même.
le procureur a requis une peine de prison d’un à trois mois, invoquant la dissuasion générale comme considération dominante pour la détermination de la peine.
« L’infraction de l’accusé impliquait qu’il commette des actes de nature sexuelle dans un espace privé de la victime », a déclaré M. Dhiraj.
Le degré d’intrusion dans la vie privée de la victime était « particulièrement élevé »,car il s’était introduit dans sa chambre,un espace privé,a-t-il ajouté. Ses actes suivants constituaient une « violation flagrante » de sa vie privée.
« Sans la découverte par la victime des actes de l’accusé en visionnant les images de la caméra en direct,il y aurait eu le risque que la victime porte ces sous-vêtements »,a déclaré M. Dhiraj, citant le même risque pour la peluche de la victime, qu’elle aurait pu serrer dans ses bras.
Pour l’infraction d’atteinte à la pudeur, l’homme risquait une peine de prison pouvant aller jusqu’à un an, une amende, ou les deux.
Colocation Horreur : Un Colocataire Condamné Pour Atteinte à la Pudeur
Table of Contents
Un homme de 38 ans a été condamné à dix semaines de prison pour atteinte à la pudeur. L’affaire met en lumière l’installation d’une caméra de surveillance suite à des événements troublants.
Le Déroulement des Faits
Tout a commencé lorsque la victime, vivant en colocation, a remarqué des déplacements suspects de ses biens. Inquiète, elle a installé une caméra de surveillance. Le 19 février, les images ont révélé que son colocataire entrait dans sa chambre et commettait des actes indécents.
Les Actes Commis :
Intrusion dans la chambre de la victime.
Actes de nature sexuelle.
Enlèvement et port des sous-vêtements de la victime.
Utilisation d’une peluche de la victime.
Mise en place d’un préservatif.
rangement des vêtements et du lit après les faits.
La victime a immédiatement porté plainte auprès de la police.
Sentence et Arguments
L’homme a plaidé coupable d’atteinte à la pudeur. Une accusation de violation de domicile a également été prise en compte. Le procureur avait requis une peine de prison d’un à trois mois, insistant sur la nécessité de la dissuasion. La peine maximale pour atteinte à la pudeur est d’un an de prison, une amende, ou les deux.
Le procureur a souligné le caractère particulièrement intrusif des actes, ayant eu lieu dans l’espace privé de la victime. Il a également mis en avant le risque que la victime porte les sous-vêtements ou utilise la peluche sans être au courant de ce qui s’était passé.
FAQ
Q : Quelle est la nature de l’accusation contre le colocataire ?
R : Atteinte à la pudeur.
Q : Quelle a été la peine prononcée ?
R : Dix semaines de prison.
Q : Pourquoi une caméra de surveillance a-t-elle été installée ?
R : Pour déterminer la raison pour laquelle ses affaires étaient déplacées.
Q : Où les actes indécents ont-ils été commis ?
R : Dans la chambre de la victime.
Q : La victime et l’agresseur vivaient-ils ensemble ?
R : Oui,en colocation.
Q : Quelle est la peine maximale pour atteinte à la pudeur ?
R : Un an de prison, une amende, ou les deux.
Résumé des Faits
| Événement | Détail |
| :——————————————– | :——————————————————————————————————————- |
| Début des événements suspects | Déplacement d’objets dans la chambre de la victime. |
| Installation de la caméra | 16 février 2025. |
| Découverte des actes | 19 février 2025. |
| Actes commis | Intrusion, actes indécents impliquant des sous-vêtements et une peluche. |
| Accusation | Atteinte à la pudeur et prise en compte d’une violation de domicile. |
| Peine prononcée | Dix semaines de prison. |
| Ordre de non-publication | Protection de l’identité de la victime. |